Jean Portante – Le travail de l’écriture ou la mémoire à l’oeuvre

Cet ouvrage se place sous le signe de la mémoire et du travail d’érosion que le temps et l’écriture imposent à l’œuvre de Jean Portante au moment où, saisie par le vertige du tremblement de terre de L’Aquila, la terre d’origine de l’auteur, se clôt le cycle de la langue baleine et s’ouvre celui de la langue fantôme. Les contributions rassemblées dans ce volume sont le fruit des travaux menés à l’occasion de la journée d’étude sur la littérature luxembourgeoise organisée à l’Université du Luxembourg le 8 septembre 2016 et consacrée à l’œuvre de Jean Portante pour la reconnaissance tant critique que publique qu’elle connaît au sein du paysage littéraire luxembourgeois et le rayonnement international dont elle jouit. Les auteurs des articles de cet ouvrage collectif contribuent ainsi à l’exégèse de l’œuvre de Jean Portante, par la mise en relief de récurrences thématiques, l’incitation à de nouvelles approches critiques ou encore la confrontation à la réflexion poétologique de l’auteur.